Bonjour
Histoire rédigée il ya quelques années...😂
Un Hôte pas comme les autres!
L'Elysée a connu hier soir la visite du grand lion,roi de la foret amazonienne.Ce dernier est connu pour sa taille énorme,il fait plus de 100 kg selon des sources generalemnt fiables.Il a fait son éloge vers 11 H avant midi,en provenance de la fôret.Le traité signé entre notre gouvernement et celui de la foret amozonienne,fief du grand lion,stipule que precisement aprés son arrivé il est pris naturalement en charge par nos autorités.On doit assurer sa sécurité,pour que les choses aillent comme il faut,on doit aussi le transporter jusqu'à l'Elysée.
Bon,d'abord à son ariveé glorieuse qui a emu toute la parterre de curieux presents,le lion,selon ses propres dire que mon oreille a eu la chance de ouire, a manifésté une stupéfaction sans limite à la vue,dit- il,de ses grandes murailles en roche argileux que le nature,toujours selon lui,a si bonhement et juliment sculté chez vous.je vois ce à quoi a fait allusion le lion,il a du parler de nos habitations de nos grandes immeubles abscents chez eux.Peut s'en fallait il que notre lion reprenne le chemin de retourt avant que nos gardes vigoureux ne l' en empeche pour le faire descendre,directement, de l'escalier de la fregate sur le quel il est resté estomaqué pendant 10 min,ils l'ont alors ramené jusque devant moi.Ensuite je lui lancé un regard eloquant pour renforcer,son courage qui lui fesait defaillance.Avant de lui lancer"un lion qui a peur!c'est un lion qui est courageux!",certainement ma phrase ne veut rien ire,mais il fallait que je consolide.
Etant chargé de l'accompagnement du lion et de son convoit je me suis assuré scrupuleusement que tout etait en bon etat.D'abord j'ai examiné la locomotive qui allait nous transporter,puis les sacs en laine qui allait abriter nos humbles hôtes.A la fin j'ai ordonné aux gardes de les emphiler soigneusement un à un dans les sac-speciaux, le lion et son convoit,composé pour la plus part de pouls ,deux loups, une chévre et la liene,épouse de son altesse le roi.
Aprés les salutations d'usage que j'ai prologué elégament à nos invités,j' ai ordonné de mettre a bord les animaux dans les sac fait en laine assez solide pour les empecher de fuguer ni même que la pensée ne leur traverse l'esprit,s'il s'en avait biensur.Chose faite,On a pris le chemin directe nous conduisant vers la cuisine predientiel,ou les president ainsi que ses hotes humains nous attendait avec impatience,surtout que leur estomac nous reclamait vivement.
A notre arriveé,nous avons été chaleureusement acceulli.Meme que le president en personne est venu jusque la cuisine,et m'a interroge sur l'etat de santé de nos invité.Il tata la poule,je vois,deja notre president et ses invité s'acharner sur nos animaux en les devorant.Je vois dejà les cris de la liéne impuissante devant le cuisinier et son couteau qui lui decapite lentement le cou, en meme temp elle lance un dernier regard desepéré vers son mari inanime sur le divan de la cuisine,pendant que le sang de ce dernier coule cantonnement sur le sol.Du haut la poule pendu lance un dernier cris mélé en remuant ses pâtes.Elle ne repire plus,elle est morte.Les autres connaissent le même sort,la seule differance c'est la cause de la mort.
Ce paysage "enchantant" témoigne de la vie de ses pauvres créatures dont l'unique salut est de s'etre retrouvé loin de l'homme qui n'hesite pas à les devorer,sans pitié.mais peut etre est ce la vie,me dis je en même temp,le plus fort mange le plus faible,qui à son tourt mange plus faible que lui et Cie.Je sombrais dans ses pensés imaginaires lorseque on cria "A table !".Et les annimaux venus du bresile specialement commendé pour ce diner familiale,transformeé en morceaux de chairs ont été transporté aprés avoir longtemp rôtis, dans les plats en porcelaine et vaz,pour, le plus naturellement du monde ,finir dans le ventre des carnivaures fetârds.Je me precipite pour ne pas ratter le diner.
Bon,d'abord à son ariveé glorieuse qui a emu toute la parterre de curieux presents,le lion,selon ses propres dire que mon oreille a eu la chance de ouire, a manifésté une stupéfaction sans limite à la vue,dit- il,de ses grandes murailles en roche argileux que le nature,toujours selon lui,a si bonhement et juliment sculté chez vous.je vois ce à quoi a fait allusion le lion,il a du parler de nos habitations de nos grandes immeubles abscents chez eux.Peut s'en fallait il que notre lion reprenne le chemin de retourt avant que nos gardes vigoureux ne l' en empeche pour le faire descendre,directement, de l'escalier de la fregate sur le quel il est resté estomaqué pendant 10 min,ils l'ont alors ramené jusque devant moi.Ensuite je lui lancé un regard eloquant pour renforcer,son courage qui lui fesait defaillance.Avant de lui lancer"un lion qui a peur!c'est un lion qui est courageux!",certainement ma phrase ne veut rien ire,mais il fallait que je consolide.
Etant chargé de l'accompagnement du lion et de son convoit je me suis assuré scrupuleusement que tout etait en bon etat.D'abord j'ai examiné la locomotive qui allait nous transporter,puis les sacs en laine qui allait abriter nos humbles hôtes.A la fin j'ai ordonné aux gardes de les emphiler soigneusement un à un dans les sac-speciaux, le lion et son convoit,composé pour la plus part de pouls ,deux loups, une chévre et la liene,épouse de son altesse le roi.
Aprés les salutations d'usage que j'ai prologué elégament à nos invités,j' ai ordonné de mettre a bord les animaux dans les sac fait en laine assez solide pour les empecher de fuguer ni même que la pensée ne leur traverse l'esprit,s'il s'en avait biensur.Chose faite,On a pris le chemin directe nous conduisant vers la cuisine predientiel,ou les president ainsi que ses hotes humains nous attendait avec impatience,surtout que leur estomac nous reclamait vivement.
A notre arriveé,nous avons été chaleureusement acceulli.Meme que le president en personne est venu jusque la cuisine,et m'a interroge sur l'etat de santé de nos invité.Il tata la poule,je vois,deja notre president et ses invité s'acharner sur nos animaux en les devorant.Je vois dejà les cris de la liéne impuissante devant le cuisinier et son couteau qui lui decapite lentement le cou, en meme temp elle lance un dernier regard desepéré vers son mari inanime sur le divan de la cuisine,pendant que le sang de ce dernier coule cantonnement sur le sol.Du haut la poule pendu lance un dernier cris mélé en remuant ses pâtes.Elle ne repire plus,elle est morte.Les autres connaissent le même sort,la seule differance c'est la cause de la mort.
Ce paysage "enchantant" témoigne de la vie de ses pauvres créatures dont l'unique salut est de s'etre retrouvé loin de l'homme qui n'hesite pas à les devorer,sans pitié.mais peut etre est ce la vie,me dis je en même temp,le plus fort mange le plus faible,qui à son tourt mange plus faible que lui et Cie.Je sombrais dans ses pensés imaginaires lorseque on cria "A table !".Et les annimaux venus du bresile specialement commendé pour ce diner familiale,transformeé en morceaux de chairs ont été transporté aprés avoir longtemp rôtis, dans les plats en porcelaine et vaz,pour, le plus naturellement du monde ,finir dans le ventre des carnivaures fetârds.Je me precipite pour ne pas ratter le diner.
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